Adoptionslogen und Mopsorden

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Adoptionslogen und Mopsorden

Bearbeitung: Roland Müller

C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei. Zweiter Band, H bis M. Leipzig: F. A. Brockhaus 1824, 370-377, 512

[Der Text wurde übernommen und stark erweitert in:
Allgemeines Handbuch der Freimaurerei. Zweiter Band, Leipzig: F. A. Brockhaus 1865, 255-260, 346.]

siehe auch:
Das offenbarte Geheimniß der Mopsgesellschaft
Der verrathene Orden der Freymäurer, 1745
Die Mops-gesellschafft
Johann Theodor Jablonski, 1748
Zur Geschichte des Mopsordens
Anselm Maler, 2000

MAÇONNERIE d'adoption.

Dieses Ordenssystem für Frauenzimmer, welches nicht mit dem Mopsorden (s. diesen Artikel!) zu verwechseln ist, hat, sowie alle andere dem Freimaurervereine nachgeahmte geheime Weiberverbindungen, seinen Ursprung in Frankreich und spricht auch in Hinsicht der Maurerei den Hang der Nation zum Vergnügen und zum Umgange mit dem weiblichen Geschlechte auf eine besondere Weise aus. Wahrscheinlich in der Absicht, um unter neuen Formen den Damen Feste geben zu können, oder um die aus dem Bunde der Freimaurer ausgeschlossenen Frauen über seinen Zweck und seine Arbeiten zu beruhigen und sie glauben zu machen, dass man sie in denselben aufnehme, erfand man gegen das J. 1774 in Paris den Rite d’Adoption, welchen der Grosse Orient daselbst zwar nicht eigentlich sanctionirte, dennoch aber durch das Abordnen von Deputationen zu den Versammlungen und durch andere Handlungen stillschweigend anerkannte.

[Br. Thory führt darüber in seiner „Hist. de la fond. du Gr. Or. de France," p. 360 sequ., an:

„Le rite d'Adoption est presque le seul qui soit aujourd’hui en usage dans les Loges françaises et étrangères. Les dames y sont admises sous le titre de Soeurs d'Adoption. Le rituel et le formulaire, tels qu'ils existent, ont été accueillis par Je Grand Orient en 1774. Ce corps avait déclaré dans sa délibération du 10. Juin qu’il les prenait en considération. II voulut aussi comprendre dans sa réforme ces sortes d'assemblées qui, avant cette époque, étaient bien loin d'offrir la régularité et la décence qu'elles ont présentées depuis. II est à croire que les réunions de darnes dans les Loges ne s'introduisirent, tant dans la France que dans l'étranger, qu'à la suite du relâchement des moeurs maçonniques. II n'était point de l'essence de l'Ordre de faire participer les femmes a ses mystères réservés aux hommes.
Aussi voit-on que les premiers Maçons qui eurent l'idee de les recevoir dans leurs assemblées secrètes, ne les ont point admises avec le titre de Franches Maçonnes, mais seulement sous celui de Chevalières d'un Ordre quelconque. lls portaient le scrupule jusqu'à refuser aux lieux, dans lesquels elles s’assemblaient le nom de Loges; on les appelait Chantiers, Forêts, Bosquets, Temples d’amour, etc.
Ce ne fut que postérieurement à 1756 qu'on appela les dames du nom de Soeurs; avant, elles étaient qualifiées de Cousines ou d’Amies.“]

[Der Abbé Robins eiferte in seinen „Recherches sur les initiations anciennes et modernes," (à Amsterdam 1779,) p. 151-154, verbunden mit p. 172, oder in den Nachdrücken: à Dresde, chez Walther, 1781, p. 111 sequ., und in der „Encycl. Maç. p. Chemin-Dupontès,“ T. I, p. 83-85 et 105, (oder in der deutschen Übers, dieses Werks: „Über die Einweihungen in alten und neuern Zeiten; vom Abt R ... Memphis u. Braunschweig 5782; (in 8.) S, 123-125;) gegen dergleichen Verbindungen in folgender Stelle. -

„L'usage d'admettre des femmes dans quelques-unes de leurs assemblées sera peut-être un jour la cause de la décadence de la maçonnerie de France. La galanterie française accoutumera peu-à-peu les maçons à s'écarter des loix rigoureuses de leur Ordre; et trop occupés du soin d'amuser ce Sexe par des fêtes brillantes, ils perdront de vue leur vrai but. C'est surtout dans les grandes villes, comme Paris, ou leur admission peut devenir dangereuse par l'impossibilité morale d'en faire toujours un choix bien épuré."
„L'usage d'introduire des femmes dans les loges, est très moderne; Ia France est la première nation qui ait donné cet exemple aux autres. La manière da les recevoir, le cérémonial de leurs assernblées, n'ont aucun rapport avec ce qui se pratique dams les loges d'homrnes; le secret que les uns et les autres sont tenus d'observer, fait voir la différence qui caractérise les deux sexes; il est presque sens exemple que les uns le violent, et il est assez rare que les autres le gardent scrupuleusement."
„Le grand orateur du Grand-Orient disait en leur faveur, en adressant la parole au Grand-Maitre: „„Les prêtres d'lsis et d'Osiris ont admis leurs femmes et leurs filles aux mystères inpénétrables et terribles de l'initiation. Les Grecs ont eu leurs Sibylles, - les Romains leurs Vestales; dans tous les ordres de la vie civile l'Europe entière a produit des héröines: eh! pourquoi les Maçons de France, qui sont pères, époux, fils, frères, ne les admettraient-ils pas parmi eux?" "
„Où est orateur de la maçonnerie de France a-t-il pris que les femmes fussent admises aux mystères d'Isis et d'Osiris. Hérodote dit expressément qu'elles ne furent jamais admises à aucuns mystères de l'Egypte. Les Sibylles étaient des prophétesses celèbres, non seulement chez les Grecs, mais encore chez les Romains; leur vertu y était en grande vénération, ainsi que celle des Vestales; elles vivaient dans les retraites, loin du commerce des hommes. Ainsi leur exemple ne pouvait être d'aucun poids en faveur de l'association dont il parlait."

Dagegen hält Br. Chemin-Dupontès in der „Encycl. maç.", T. 1, p. 193-199, den Adoptionlogen eine pathetische Schutzrede, welche so anhebt. -

„Persuadés, comme le galant François I., qu'une cour sans femmes est une année sans printems, et un printems sans roses, vous allez ouvrir aux dames l'entrée de votre temple. Cet usage d'admettre les femmes dans la maçonnerie, est désapprouvé par un très bon et très savant maçon, l'auteur des „recherches sur les initiations anciennes et modernes." -
Tout ce qu'il dit à cet égard est très juste: rnais il me parait avoir oublié une observation essentielle, c'est que la présence des femmes dans nos temples n'aménerait la décadence de l’institution qu'autant qu'elles existeraient à toutes les tenues, - que les loges d'adoption ne sont qu'un objet très secondaire, un luxe dans la maçonnerie, un aimable délassement, qui ne peut nuire aux véritables mystères, exclusivement pratiqués par des hommes."

Der Redner schliesst mit dem Ausrufe:

„Ainsi la rnaçonnerie, qui rend les hommes meilleurs, perfectionnera encore les femmes; et de ce double perfectionnement il résultera que les maçons unis à des maçonnes, verront renouveler en leur faveur, le prodige par lequel les Dieux récompensèrent la vertu et le tendre attachement de Philémon et de Baucis, c'est-a-dire que leur toit domestique sera converti en un temple sacré, séjour du bonheur le plus pur."

Bonneville sagt in seinem Werke: „Les Jésuites chassés de la Maçonnerie," etc., 2de part., p. 80 sequ. (in, der Übersetzung, Th. 2, S. 105 f.):

„Die Franzosen haben sogar eine Freimaurerei für das Frauenzimmer geschaffen, wovon sie die Versammlungen Loges d'Adoption nennen; und da diese so ziemlich gewöhnlich aus den auserlesensten Personen des Hofes und der Stadt bestehen, so laufen alle französische Maurer diesen Adoptionlogen zu, welche sich übrigens durch ihren Anstand und ihre Wohlthätigkeit sehr empfehlen. Unsere Franzosen bekümmern sich sehr wenig um das Schelten einiger mürrischen Maurer, die ihnen täglich mit der Mahnung in den Ohren liegen, dass die Maurerei in Frankreich nie gedeihen werde, solange man Frauen den Zutritt gestatte. Sie nennen Diese Pedanten; und in der Überzeugung, dass, wenn es in der Maurerei ein wirkliches Geheimniss gäbe, solches schon längst bekannt seyn müsste, beschränken sie alle ihre freimaurerischen Kenntnisse auf die Erkennungzeichen; und alle ihre Logenreden sind Nichts, als Ermahnungen, oft mit einem grossen Aufwande von Beredsamkeit, bedrängten Brüdern oder Reisenden beizustellen, und im ganzen Chor zu trinken auf das Wohl derjenigen Schwestern, welche die Zierden ihrer Tafelloge sind."

In einem glänzenden Lichte erscheint die Maçonnerie des Dames in der „Esquisse des travaux d'Adoption, dirigés par les Officiers de la Loge de la Candeur, Depuis son Etablissement," (ce 21. Mars 1775, par le Marquis de Saisseval, la Marquise de Courtebonne, les Comtesses de Polignac et de Choiseul-Gouffier, etc.) „à l'Orient de Paris; l'an 1778;" (8 et 46 pp. in 4.) zugeeignet den durchlauchtigsten Schwestern: la Duchesse de Bourbon, Grande-Maîtresse de l'Ordre des Franches-Maçonnes d'Adoption en France, la Duchesse de Chartres et la Princesse de Lamballe. In dem Essai sur le but de l’Adoption, p. 3 sequ., heisst es unter andern:

„La plus parfaite moitié du genre humain ne pouvait pas être toujours bannie des lieux qu'elle devrait embellir. Est-il des biens parfaits loin des graces? Nous avons donc admis des Soeurs à ceux de nos mystères, auxquels elles pouvaient, elles devaient même participer; nous leur avons rappelé notre principe, en leur faisant adopter notre but."
„Un nouveau paradis terrestre est le lieu que nous habitons; elles y viennent goûter des fruits délicieux qui leur sont permis, et instruites par un fatal exemple, elles ont le courage de se soustraire à l’àppas des fruits défendus."

„Rien n'est plus propre à prouver à nos Soeurs la haute opinion que nous avons de leur sexe, que l'effort que nous avons fait, après tant de siècles, en les associant à nos mystères. Par l’Adoption nos coeurs sont à elles, nos esprits sont unis aux leurs. Elles partagent nos sentimens comme nos asyles, nos lumières comme nos travaux; notre bonheur est commun; et notre félicité s'augmentant par la communication, nous arrivons à cet heureux degré de jouissance, où le coeur satisfait et comblé n'a plus de désir à former. De toutes les sociétés établies parmi les hommes, il n'en est point de plus sage, de plus parfaite, de plus utile que la Maçonnerie. La vertu, voilà son esprit; le bonheur du genre humain, voilà son but; la vertu et le bonheur en composant ses avantages et ses douceurs, sont les seuls objets de ses devoirs. Utile par la morale qu'elle enseigne, agréable par l’union qu'elle entretient, délicieuse par l'amitié fraternelle qu'elle inspire, la Maçonnerie est sur la terre une ébauche de la félicité des Cieux."]

[In dem „Essai sur les mystères et le véritable objet de la confrérie des Francs-Maçons," welcher zuerst à la Haye, oder vielmehr à Paris, im J. 1771, dann aber la seconde édition, revue et corrigée, à Amsterdam 1776, 40 pp. in 8., erschienen ist, und wovon im „Abrégé de l’hist. de la Franche-Maçonn." (à Londres et à Lausanne 1779, p. 35-55, ein anderweiter Abdruck, sowie in der „Freymäurer-Bibl.," St. 1, S. 99-124, eine Verdeutschung, steht, enthält die 2te Anmerkung Folgendes. -

„Man hat seit einiger Zeit Frauen vermittelst der Adoption (par adoption) in die Mysterien der Freimaurerei eingeweiht; doch sind diese von den Mysterien der Männer verschieden. Die Grade für die Frauen sind aus dem ersten Buche Mosis entnommen; die Symbole und Formen sind die sinnbildliche Vorstellung der Tugenden ihres Geschlechts; und die Loge stellt bei den Aufnahmen den Garten Eden dar. Dieser Orden bezweckt, die Lehren an's Herz zu legen, dass das Weib von Gott zur Gehülfin des Mannes erschaffen ist, dass diese Vereinigung der Geschlechter, als ein Geschenk seiner wohltätigen Hand, eine Freistatt des Vergnügens, de Ruhe und der Unschuld seyn sollte, dass aber die Neugier auf der einen und die Süssigkeit der Verführung auf der andern Seite den Fall des ganzen menschlichen Geschlechts verursacht haben. Die Neuaufgenommenen werden daher ermahnt, diesen Schaden zu ersetzen durch ihre Tugenden, wodurch allein sie das Band der Vereinigung befestigen und uns die reinen und wahren Freuden des Lebens schmecken lassen können."]

[In dem vorher S. 370, Sp. b, angezogenen Werke des Brs. Thory liefert der dritte Theil, p. 341-432, ein lesenswerthes Fragment sur les réunions secrètes des femmes, worin theils ausführlichere, theils kürzere, Nachrichten gegeben werden:
1) des Mopses; (s. unten diesen Artikel I)
2) de l’Ordre de la Félicité ou des Félicitaires (s. oben d. Art.!)
3) de l'Ordre des Chevaliers et Chevalières de l’Ancre; (s. oben den Art.: der Orden vom ANKER!)
4) de l'Ordre des Chevaliers et Nymphes de la Rose; (s. unten den Artikel: RosenorDEn!)
5) du: Rite d'Adoption et de l’Ordre des Fendeurs; (s. den letztern Artikel!)
6) de l’Ordre des Dames écossaises de l’Hospice du Mont-Thabor; (s. den Art.: die schottischen Damen vom Hospitale des Berges Thabor!)
7) de l'Ordre de la Persévérance, (s. den Art.: der Orden der BehaRRlichkeit!)
8) de l'Ordre des Chevaliers et Dames Philochoréites, ou Amans du plaisir; (s. den Art. PHILOCHORÉITES!)
9) de la Maçonn. égyptienne d'adoption; (s. den Artikel: die Ägyptische Maurerei!)
10) de l'association des Compagnes de Pénélope; (s. den Artikel: der Orden vom PALLADIUM!)

Über den Rite d’Adoption verbreitet sich Thory p. 360-378. Ausserdem finden sich über die verschiedenen Grade dieser Maurerei in den nachverzeichneten Druckschriften Aufschlüsse. -

1) „La Maçonnerie des Femmes." (Eine Vignette, welche ein aufgerolltes Schurzfell, worauf eine Kelle und ein Hammer sichtbar sind, darstellt.) Londres 1774; 48 pp. in 16.- Von dieser Schrift, welche das Ritual der drei ersten Grade in sich begreift, sind drei deutsche Übersetzungen erschienen, als:

a) „Die Freymäurerey der Frauenzimmer." (Die soeben beschriebene Vignette.) Strassburg 1774; 48 Seiten in 16. Ein neuer Abdruck: Paris 1799; 32 Seiten in kl. 8.
b) „Die Freymäuerey im Fischbein-Rocke." Erster Theil. Frankf. und Leipzig, 1775; 48 Seiten mit einem elenden Titelk. - Der zweite Theil hat den Titel: „Die Verrathene Freymäurerey," (80 Seiten mit einem ebenso schlechten Titelk.) und ist ein Nachdruck aus der Schrift: „Der verrathene Orden der Freymäurer," u. s. w.; Leipzig, 1745, S. 1-70.
c) „Die drei Grade der Freimaurerei des Frauenzimmers, mit allen Gebräuchen und Ceremonien, und einem vollständigen Katechismus. - vom Logenmeister Bosch." Prag und Wien, 1783, 5 und 57 Seiten in 8., mit einem bunten Titelk., den Obermeister einer Frauenloge in seiner Amtskleidung vorstellend.

2) „L’Adoption ou la Maçonnerie des Femmes, En trois Grades. A la Fidélité Chez le Silence. 100070075." (Am Ende der Schrift steht: "Ce Livre se trouve à la. Haye, chez P. Gosse et Pinet; et à Genève chez J. Bardin.") 64 pp. in 8., mit 3 Kupfern.

3) Vier Hefte in 12. ohne Ort und Jahrzahl, mit dem Haupttitel: „Maçonnerie des Dames," und zwar;

a) 45 Statuts et réglemens und Loge de Table; 2 et 24 pp. Jene enthalten unter andern in den Artikeln 11 und 12 die Satzungen: „Aucune femme ou veuve ne pourra être reçue, sous quelque prétexte que ce puisse être, si elle a le moindre soupçon de grossesse"' etc., und: „Aucune femme, veuve ou fille, ne pourra pareillement être reçue, sous quelque prétexte que ce soit, dans un tems critique; et le jour de sa réception sera éloigné, au moins de quatre jours, de celui ou elle aura cesse d'avoir ses règles, et au moins de huit de celui qu'elle comptera qu'elles pourront lui reprendre."
b) Premier grade d’Aprentie; 22 pp., mit 2 Kupfern;
c) Grade de Compagnonne; 2 et 13 pp., mit 2 K.;
d) Grade de Maîtresse; 2 et 21 pp., mit 1 K.

4) „La vraie Maçonnerie d'Adoption;" etc. „Par un Chevalier de tous Ies Ordres Maçonniques" (d. i. par Mr. Guillemain-de-St.-Victor.) „A Philadelphie, Chez Philarethe, rue de l'Equerre à l’A-Plomb. 1787." (Auf dem Schmutztitel: „Manuel des Franches-Maçonnes, ou la vraie Maçonnerie d'Adoption.") 98 pp. in 16. - Die erste Ausgabe ist, nach Thory, p. 563, Note 2, im J. 1783 erschienen. - Diese Schrift enthält noch das Ritual eines vierten Grades de parfaite Maçonne. Das der drei ersten Grade weicht von dem in der Schrift unter Nr. 1 in verschiedenen Stücken ab, wird aber vom Herausgeber für das einzig richtige ausgegeben. Eine deutsche Übersetzung ist der „Vollständ. Sammlung der Adon-Hiramitischen Maurerey," (Leipzig 1786.) S. 145-264, angehängt; und in dieser versichert der Verdeutscher S. 153 in der Note, dass in der hier unter 1.c, angeführten Schrift, welche er für ein Original hält, „Alles ohne Sinn und Verstand untereinander geworfen und mit läppischen Ceremonien und Fragen ausgeschmückt worden sey."

5) „Die angenommene Freimaurerei, oder die Freimaurerei der Damen. Germanien" (d. i. Stendal, bei D. C. Franz und J. C. Grosse,) 1789; 86 Seiten in 8. - Hierin werden die Grade der Lehrlinge, der Meisterinnen und der erfahrenen Meisterinnen beschrieben und sollen, nach, der Vorerinnerung, mit den Originalacten einer wirklich arbeitenden deutschen Damenloge, die sich selbige aus dem Französischen übersetzen lassen, vollkommen übereinstimmen.

6) Der zweite Theil des „Nécess. maçon., par É.-J. Chappron," (à Paris 1817,) p. 131-198, enthält die Maçonnerie d Adoption pour les Femmes, und zwar nach, den Statuts pour les Loges, (worin Art. V. ebenfalls verordnet: „Nulle femme enceinte ou dans le tems critique ne pourra être admise a la réception;") die Rituale der Grade d'Apprentie maçonne, de Compagnonne, de Maîtresse, de Maçonne parfaite et d’Élue ecossaise.

7) Im „Manuel maçonn." (à Paris 1820,) p. 413-432, ist ein Tuileur (1) de l’ordre de la Félicité; ou Maçonnerie d’Adoption, worin Notizen von den drei ersten und dann von den Graden: 4) de Maîtresse parfaite und 5) d'Élue, sublime Écossaise, ou Souveraine illustre écossaise, in gleicher Art, als der Verfasser bei den übrigen Graden verfährt, gegeben werden.]

(1) [Das Wort: Tuileur, wird im „Manuel du Franc-Maçon, par E. F. Bazot," à Paris 1819,) p. 165, durch Fonctionnaire de loge erklärt.]

[In der „Zeitung der Ereignisse und Ansichten; Beilage zum Gesellschafter," (herausg. vom Prof. F. W. Gubitz zu Berlin) vom J. 1823, S. 45 f., giebt Adalbert vom Thale Kunde von einer zu Neapel unter dem Vorsitze der Königin Caroline (s. d. Art.!) bestandenen freimaurerischen Loge von Damen, welche sich Muhmen Gärtnerinnen (cugine giardiniere) nannten und später, eine ebenso glänzende Rolle zu spielen, suchten, als ihre guten Vettem (buoni cugini), die Carbonari. Solange diese ihr Wesen trieben, standen die Logen der Gärtnerinnen unter dem Schutze der Grossloge der Carbonari zu Neapel.]

Es mag hier ununtersucht bleiben, inwiefern es zweckmässig ist, mit geheimen Gebräuchen, welche man freimaurerische nennt, solche Versammlungen von Weibern zu halten: indess ist nicht in Abrede zu stellen, dass in Folge dieser Frauenlogen mehre wohlthätige Handlungen zur Ausübung gebracht worden sind. Sie erhalten sich übrigens in Paris noch fortwährend; weil sie den Mitgliedern mancher Loge Veranlassung geben, in ihrer Mitte eine nach ihrer Wahl zusammengesetzte weibliche Gesellschaft zu sehen, auch ihr zu Ehren Feste anzustellen, und sich dabei durch Tanzen zu vergnügen. Ausserhalb Frankreichs sind die Versuche, solche Logen einzuführen, nie gelungen: doch werden an verschiedenen Orten von Logen Feste veranstaltet, wobei das weibliche Geschlecht die erste Zierde ausmacht, und die sich gewöhnlich nur dadurch von andern Festen auszeichnen, dass kein Mann zugelassen wird, der nicht Maurer ist.

Mopsorden (der)

entstand, angeblich in Wien, zwischen 1738 und 1740, nachdem Papst Clemens XII. wider die Freimaurer die bekannte Bulle erlassen hatte, und war aus Männern und Frauen zusammengesetzt. Der geistliche Churfürst Clemens August zu Cöln, geborner Herzog in Baiern, der vor der Erscheinung jener Bulle in einige freimaurerische Grade eingeweiht worden war, zog sich zwar damals von der Brüderschaft zurück, stiftete aber, um sich dafür schadlos zu halten, und zugleich als ein grosser Verehrer der Damen, jenen Orden, dessen Zweck durchaus kein anderer war, als: Feste in gewählter Gesellschaft zu geben und gelegentlich ein Almosen zu vertheilen.
Derselbe fand in einem grossen Theile Deutschlands, und sodann in Holland und Frankreich, Beifall, hat aber schon vorlängst der Maçonnerie d"Adoption [s. diesen Artikel!] Platz gemacht.

[Weitere Auskunft darüber enthält die Schrift: „Le Secret de la Société des Mopses, Devoilé et mis au jour par Monsieur P***"; (mit der Abbildung eines Mopshundes auf der Titelvignette;) à Amsterdam, 1745; nebst 2 Kupf. Diese macht einen Theil des Werks: „Le Secret de l'Ordre des Francs-Maçons“ etc. (ebend.; in 8.;) p. 199-240, aus, wovon die deutsche Übersetzung: „Die offenbarte Freymäurerey" u. s. w. „von dem Bruder Phidias", (Leipzig, 1745; in 8.;) sich auf S. 141-168 auch über das Geheimniss der Mopse verbreitet. - Vgl. die „Histoire" etc. (par Thory), p. 347-349!]


C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 7

Aegyptische Maurerei (DIE);

ein von dem berüchtigten Cagliostro im Jahre 1782 erfundener mystischer Orden, in welchen auch Weiber eingeweiht wurden, und dessen Hauptsitz sein Stifter, der sich als dessen Grosscophta erklärte, in Paris, Lyon und Strasburg gegründet hatte. - Visionen, Cabbalistik, Theosophie und andere Betrügereien des Grosscophta waren die Gegenstände der Entzückungen der versammelten Mitglieder. –
Der Abgeschmacktheit dieser mystischen Gesellschaft ungeachtet, fand sie eine Menge Anhänger und erhielt sich bis 1785, also lange genug, um darzuthun, wie schwach, leichtgläubig und verblendet Menschen seyn können, die in andern Verhältnissen Beweise vom Gegentheile gegeben haben. –

Siehe auch unten Cagliostro [und vorzüglich „Hist. de la fondation du Gr. Or. de France", Paris, 1812, p. 389-430].

Das misphraim’sche System in Frankreich nennt sein Ritual auch aegyptisch.


C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 19

ANKER (DER ORDEN VOM)

war ganz gleicher Art mit dem de la Félicité, aus dem er im J. 1745 entsprungen ist, und von dem er sich durch Nichts, als durch die veränderten Erkennungsworte, unterschied. Seine Existenz war von eben so geringer Dauer, als die seines Vorgängers. - S. FÉlicitÉ.


C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 38-39

BEHARRLICHKEIT (DER ORDEN DER, l’Ordre de la Persévérance)

bestand beinahe ausschließlich aus Damen und Herren am Hofe Ludwigs XV. Die polnische Gräfin Potoska, der Graf Brostosky und der Marquis de Seignelay gründeten ihn zu Paris im J. 1771; und durch ein zwischen jener Gräfin und dem damaligen Könige von Polen, ihrem Anverwandten, getroffenes Einverständnis war es den Erfindern desselben gelungen, die Mitflieder glauben zu machen, dass er in Polen entstanden und sehr alten Ursprungs sey.

[S. „Hist. de la fond. du Gr. Or. de France"; par Thory, p. 383-385.]

BEIL (DER ORDEN VOM), oder VON DER AXT, L’Ordre de la Coignée

eine geheime Männer- und Weiberverbindung, mit einigen unbedeutenden Modificationen des Ordens der Holzfäller oder Fendeurs. Siehe FENDEURS.


C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 50-51

Bouchon (L’ordre Du), der Orden vom Stöpsel,

worin auch Frauen zugelassen wurden. Er entstand in Italien, nachdem die päpstlichen Bullen die Versammlungen der Freimaurer verboten hatten und hatte bloss einen gesellschaftlichen Zweck.


C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 70

CENTAINE (L’ORDRE DE LA), DER ORDEN DER HUNDERT;

eine mystische Secte, welche 1735 in Bordeaux entstand und auch Frauen unter sich aufnahm. Späterhin haben einige Anhänger derselben gesucht, sie der dortigen Freimaurerei einzuimpfen,. Jedoch ohne Erfolg.

C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 99

DAMEN (DIE SCHOTTISCHEN) VOM HOSPITALE DES BERGES THABOR,

auch HOSPITALITERINNEN VOM BERGE THABOR;
ein Weiber-Orden, der mit der Maurerloge des Comrnandeurs du Mont Thabor in Paris vereinigt worden ist. Ausser dem Zwecke der gesellschaftlichen Feste, ist Wohlthätigkeit gegen Kranke und Genesende sein Hauptzweck. –

[„L'objet principal de cette institution est de donner du pain et du travail aux personnes de bonne conduite du sexe feminin qui en manquent, de les aider d'abord, de les consoler ensuite, et de les préserver, par les bienfaits et l'espérance, de l'abandon des principes et du supplice du désespoir. - Ainsi s'expriment les statuts."
Aus der „Hist. de la fond. du G. O. de France; " par Thory; in dem Aufsatze: „Ordre des Dames écossaises de l’Hospice du Mont Thabor;" p. 378-383.]

C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 196-197

Felicité (l'oRdre De La); FelicitaiRes.

Diese geheime Verbindung von Männern und Frauen wurde im J. 1742 von Mr. de Chambonnet und einigen andern Seeofficieren zu Paris gestiftet. –
Der Zweck dieser Vereinigung war bloss gesellschaftlich; und ihre Gebräuche waren nach denen der Freimaurerei gebildet, ausgenommen, dass Alles auf das Seewesen und auf eine Reise nach der Insel der Glückseligkeit anspielte, so dass die Mitglieder, statt Maurer, Seeleute in ihren vier verschiedenen Abstufungen und Graden waren.

[Voir „l'Antropophile, ou le Secret et les Misteres de l'Ordre de la Félicité dévoilés pour le bonheur de tout l'univers;" à Arctopolis, 1746; in 8; et „l'Hist. de la fond. du Gr. Or. de France," p. 350-355!]

C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Erster Band, A bis G, 1822, 197

Fendeurs (l'ordre Des), der Orden der Holzhauer, Holzfäller.

Diese geheime Männer- und Frauen-Verbindung wurde am 17. August 1747 in Paris vom Chevalier de Beauchaine, (1) gestiftet. Das Ritual hatte in allen seinen Theilen Bezug auf den Stand der Holzfäller, sowie das der Freimaurer auf die Innungsmaurerei. [S. „Hist. de la fond. du Gr. Or. de France;" par Thory; p. 360-363!]

(1) [„Il était connu pour le plus fanatique des maîtres inamovibles de l'ancienne Grande Loge de France. II avait établi une Loge dans un cabaret, à l'ensigne du Soleil d’Or; il couchait dans cette Loge, et moyennant 6 francs il donnait, dans un même jour, tous les grades de la Franche-Maçonnerie à ceux qui voulaient les recevoir." Thory I. c. p. 361, Note 2.]

C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Dritter Band, N bis Z, 1828, 69

Palladium (der OrDen Vom).

Der Ursprung dieser geheimen Verbindung von Männern und Frauen, deren Zweck Moralität und Geistesbildung war, soll zwar, wie die Acten derselben vorgeben, bei den alten Agyptiern zu suchen seyn: allein sie ist wahrscheinlich eine neuere Erfindung.

[Voir „Hist. de la fond. du Gr. Or. de France" (par Thory), p. 209-214, wo es zuletzt heisst:

„Le sceau de cet Ordre offre un coeur couronné de fleurs sur autel orné d'une guirlande, avec une branche de laurier à droite et une autre de palmier à gauche. Sur le coeur on lit: Je sais aimer. - Cette devise et l'intimité, qui règne entre les compagnons d’Ulysse," (c'est-à-dire les sept membres du Conseil,) „et les compagnes de Pénélope" (voyez cet article!) „indiquent suffisamment l'objet certain et le but principal de la société du Palladium."]

C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Dritter Band, N bis Z, 1828, 103

Philochoréites

(l'ordre Des Chevaliers Et Dames) ou Amans Du Plaisir (Liebhaber des Vergnügens).
Diese geheime Verbindung von Herren and Damen wurde zu Ende des J. 1808 von einigen jungen französischen Officieren im Lager vor Orense, in Gallizien, gegründet und nachher nach Frankreich eingeführt, hörte indess während der politischen Begebenheiten in den Jahren 1813 und 1814 wieder auf.

[Grossmeister, oder Chevalier des noeuds, war Charles de Noirefontaine, und Grosskanzler, oder Chev. du défi d'amour, Gustave de Dumas. Voir „Hist." (par Thory), p. 385-389!]

C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei, Dritter Band, N bis Z, 1828, 265-266

ROSEN-ORDEN (DER), L’ORDRE DES CHEVALIERS ET NYMPHES DE LA ROSE

wurde vom Herzoge von Chartres 1780 in Paris gestiftet. Sein Secretair, Mr. de Chaumont, erfand die Gebräuche dieses Männer- und Frauenordens, dessen Zweck Nichts weniger, als moralisch, war, und welcher sich nur kurze Zeit erhielt.

[Voir „l'Histoire" etc. (par Thory), p. 356-360! - Auch in diesem Orden wurde mit dem Eide gespielt, welcher so lautete. -

„Je jure et promets, au nom du Maître de l'Univers, dont le pouvoir se renouvelle sans cesse par le plaisir, son plus doux ouvrage, de ne jamais révéler les secrets de l'Ordre de la Rose. Si je manque ä mes sermens que le mystère n'ajoute jamais a mes plaisirs! qu'au lieu des roses du bonheur je ne trouve jamais que les épines du repentir!"]

Franz Rudolph von Grossing errichtete im J. 1784 unter ebendemselben Namen einen ähnlichen Orden, der aber ebenfalls nur eine kurze Dauer hatte.

[S. „Leben und Schicksale des berüchtigten F. R. von Grossing, eigentlich Franz Matthäus Grossinger genannt, nebst der Geschichte und Bekanntmachung der Geheimnisse des Rosen-Ordens von Friedrich Wadzeck, Professor", Berlin, 1789. gr. 8.! Von dieser Schrift befindet sich ein Auszug in „dem Freymaurer oder compend. Bibl." u. s. w. Heft 2, S. 44-57, und hieraus nachgedruckt in dem Buche: „Das Ganze aller geheimen Ordens-Verbindungen," (Leipzig 1805) S. 460-470.
S. auch das „Journ. von u. für Deutschland" auf d. J. 1789, St. 12, S. 482-492!]

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